Un peu marre qu'il s'écrive ici surtout des choses pénibles, difficiles, ascendant tragique.
Du coup j'en profite pour glisser un retour d'expérience.
Suite à ce billet plusieurs lecteurs, lectrices, m'ont suggéré de renoncer à l'appel du siphon pour procéder avec la poche à douilles.
Ce qui, comme l'avait justement souligné tetsuo,passait à côté de l'essence de la chose, la sacro-sainte texture [1].
Or donc le siphon fût acheté et apprivoisé (non sans peine, parfois, mais il est à peu près apprivoisé.
Et enfin, dimanche, j'ai fait mes gougères, pochées au format "petit choux", et puis ma chantilly au bleu. Et c'était trop d'la balle.
Il resterait une dernière étape qui consisterait à remplir les choux avec la chantilly, mais il y a ce côté un peu régressif de tremper la gougère dans un petit pot de chantilly, et finir le dit pot à la petit cuillère... bref.
Donc, c'est officiel, j'avais RAISON d'acheter ce siphon indispensable.
Maintenant il faut que je rachète des cartouches.
Note
[1] quiconque se nourrit - huhu - d'émissions culinaires sait qu'outre le goût, il faut de la texture dans un plat. Du vaporeux et du croustillant, de la mache, comme on dit maintenant sans causer salade et du crémeux. Bref. De la TEXTURE, on vous dit